“Il est mortel de se moquer d’un poète,
d’aimer un poète, d’être un poète.”
- Robert Graves, in "La Déesse Blanche"
Cet citation m’a paru la première fois que je l'ai lu, soudain comme un coup de foudre, être mon parfait miroir.
Suis-je un poète?… Parait-il qu’il est mortel d’être moi. Et de m’aimer, aussi. Je cause du mal aux gens qui ose me connaitre à fond. Et que j’ose aimer en retour, malheureusement.
Ne vous moquez pas de moi non plus, quand je oserai questionner si quand-même… Les poètes n’ont jamais trop de sous dans sa poche?… Bof, alors je suis un poète.
Plutôt ne pas être un poète. Si j'avais suffisamment, pas trop d’argent, je m’acheterais une maison. Oú je désirerai de vivre avec mon ange à moi.
Ensuite je crois bien que nous aurions envie d'héberger beaucoup de ces anges, nos bons amis, qui sont toujours en voyage autour de ce monde, tous ensemble autour de la chaude cheminée de notre foyer et d'un bon vin moscatel, qui garde en soi toute la chaleur du soleil de l'été à ce beau pays oú je suis né.
Regardons bien: si j'ai mélangé la poésie avec l'argent, c'est parce que, comme le bon vieux Robert Graves a aussi dit un jour…
J'espère que les anges m'écoutent et me puissent aider à accomplir ma supérieur mission de ce chaud amour humain. Y a pas de meilleur usage qu'on puisse faire de l'argent que peut nous toucher un jour avec la bonne chance. ;-)
Que les dieux puissent reconnaitre ce talent que je crois ils m'ont bien donné. Ça pourrait aider aussi
à générer ce que mon ange à moi a appelé "the energy of money", un tout nouveau concept pour moi, à ce jour-lá qu'elle l'a verbalisé. À voir...
Alea jacta est.
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